
Psychogénéalogie
On considère notre héritage familial comme pouvant expliquer certains de nos comportements. Notre arbre généalogique aurait donc des répercussions sur nous : c’est l’influence des ascendants sur les descendants.
Ce sont surtout les travaux du Pr Anne Ancelin Schützenberger, de l’Université de Nice, qui mirent ce concept au grand jour en 1971 en France.
On prend en compte, ce que l’on appelle aussi : la dimension transgénérationnelle :
- L’idée de « mémoire » du corps : notre corps porterait certaines blessures liées à notre passé familial, un peu une mémoire émotionnelle de nos ressentis de l’enfance.
- Les névroses familiales : ainsi, l’on a souvent tendance à reproduire une sorte de schéma mental/psychologique qui nous vient d’un ascendant.
Pour cela, on utilise en séance des outils tels que le génosociogramme dont on va décoder des éléments ensemble tels que les prénoms, les dates anniversaires, les métiers exercés, les lieux de vie…
S’inscrire dans son chemin de vie, comprendre sa place dans son histoire familiale. Il ne s’agit pas de couper les liens mais de les dénouer.
Il n’est pas nécessaire d’avoir beaucoup de matière en généalogie pour comprendre